Gros Textes n°17 faisait la part belle aux aphorismes parfois profonds, parfois potaches, joyeux mélange…
« J’irai au fond de cet amour qui est si grand que nous pourrions y vivre comme étrangers l’un à l’autre » (Joë Bousquet)
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« Les politiciens, c’est comme les friteuses, on n’arrive jamais à les garder propres bien longtemps.
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La vérité sort de la bouche des enfants qui vomissent. » (Éric Dejeager)
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« Finalement, dans la vie, il y a peu de jours où l’on meurt.
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Les chrétiens voient la lumière en Jésus-Christ. Pas de doute, ils prennent le messie pour une lanterne. »
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Front de libération du cochon : « le verrat qui vivra ».
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J’ai fait une croix sur la religion.
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Avant de regarder, ouvre les yeux. » (Jean-Paul Rostain)
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« Si vous froissez un chiffonnier, vous n’avez plus qu’à repasser.
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Le prêtre dit que quand on croit on s’élève. Voilà des théories qui vous mettent à genoux.
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Une fleuriste fanée peut très bien faire un beau bouquet.
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Un apprenti dans une crèmerie, qui renverse du lait, ça peut mal tourner.
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Un boucher bouché comme un évier et un poissonnier muet comme une carpe, vous avez là tous les éléments pour faire votre aquarium.
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Le mec qui pète plus haut que son cul finit toujours par ne plus se sentir pisser. » (David Dumortier)
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« Il faut être indulgent pour l’homme si l’on songe à l’époque à laquelle il a été créé. » (Alphonse Allais)
