Ce qu’il dit ou rien… Il dit qu’il faudrait redistribuer les cartes, déplacer les meubles et changer le décor, retrouver dans des yeux de chat la profondeur de nos nuits…
« Dans les agates » de Michel Talon
« Dans les agates » de Michel Talon, éditions le citron gare, http://lecitrongareeditions.blogspot.com/2020/08/dans-les-agates-de-michel-talon.html Certes c’est bateau mais la poésie nous apprend que la réalité n’est pas si sûre que ça.…
Les raisons de la cause des effets…
Il ne faut surtout pas les confondre avec la cause des effets de la raison, sinon on ne comprend plus rien. * Cette nuit deux agents de sécurité m’ont interdit…
Je ne me souviens pas de Renée Claude
Je ne me souviens pas de Renée Claude ni de cette envoûtante chanson au titre énigmatique « la ville depuis ». Les paroles sont de Clémence Desrochers. Je ne me…
Les moissons du bitume
Les moissons du bitume Sur la route je t’ai rêvée paysage maisons platanes lampadaires vignobles et champs de blé. On a roulé longtemps pour trouver l’artère principale d’une ville à…
Le miracle des queues de cerises
« Peu m’importe. Peu m’importe quoi ? Je ne sais : peu m’importe. » (F. Pessoa) * Le sentiment d’être dans sa vie comme dans des vêtements trop grands Sentir…
Je ne me souviens pas de Claude Saguet
Je ne me souvenais pas de Claude Saguet jusqu’à ce soir où, épuisé, de retour de plusieurs jours de marché à déballer et remballer un fourgon, monter et démonter un…
Je ne me souviens pas de Jean-Pierre Metge
Je ne me souviens pas de Jean-Pierre Metge, qu’il ait été instituteur et responsable des éditions « À chemise ouverte ». Je ne me souviens pas que la revue Décharge…
Un petit point rouge dans le coin d’un tableau
Un petit point rouge dans le coin d’un tableau Il avait dormi dans le fourgon près d’un étang qui lui rappelait les tableaux désuets de Corot qu’il aimait tant au…
Cinq quintils en déséquilibre sur le buffet de la cuisine
j’avais laissé fenêtre ouverte et la nuit était entrée dans la chambre avec ses bateaux de pirates ses corolles de femmes ses soupirs de phalènes * et soudain les montagnes…